dimanche 17 août 2008

AUTOPORTRAIT 2008


jeudi 3 juillet 2008

Parcours/Métalogos, à ARPAC

Installation présentée au "Jardin Perdu", Poterie du Mesnil de Bavent, voir invitation ci-dessous Les Indolents Solitaires
Vous pouvez vistez le site d'ARPAC:
http://www.arpac.fr/spip/spip.php?rubrique23

samedi 28 juin 2008

Installation, Parcours/métalogos

Installation présentée au "Jardin Perdu", Poterie du Mesnil de Bavent, voir invitation ci-dessous
Les Indolents Solitaires

Installation, Parcours/Métalogos


Installation présentée au "Jardin Perdu", Poterie du Mesnil de Bavent, voir invitation ci-dessous
Les Indolents Solitaires

lundi 19 mai 2008

mercredi 9 avril 2008

Lumière Noire


toile 60X60 cm, MMVIII, Guillaume Landemaine

vendredi 21 mars 2008

REVUE SISYPHE




mercredi 5 mars 2008

AUTOPORTRAIT 2008

Toile 60X60 cm

vendredi 15 février 2008

Printemps des poètes

Association ARTLIBRIS propose des rencontres poétiques dans le cadre du programme national « Le Printemps des Poètes » le vendredi 7 mars et le samedi 8 mars à la Médiathèque Jacques Prévert (14160 Dives-sur-mer, Calvados).
Contacts : artlibrisasso@yahoo.fr
Médiathèque de Dives sur Mer :02-31-24-29-27
Avec la participation de :
Arlette ALBERT-BIROT
Guy ALLIX
Anne ARC
Jean-Marc BAUDE
GHISLAINE BRAULT-MOLAS
Claude BER
Serge CHAMCHINOV
Driss CHAJRIChristian DOUMET
Léonore FANDOL
Joyce FURICGEORGIA
Nelly GÉROURARD
Andreas HEGEWALD
Frédéric JOOS
Christiane JUST
Olivier KACHLER
Guillaume LANDEMAINE lira François Tonniac et présentera leur collaboration,
Philippe QUÉREL
Jean-Luc STEINMETZ
Dominique THIREAU -BRUNEAU
Ulrich ZIEGER
Sites Internet : http://blogsperso.orange.fr/web/jsp/linkPage.jsp?blogID=150639&articleID=12867173&page=http://artlibris-biblioparnasse.com Chaîne/Radio : Calvados

mercredi 2 janvier 2008

Ecce Bestia, par Guillaume Landemaine et François Tonniac


Guillaume Landemaine

La horde est barbare toujours, stupide et cruelle
Et que faire de cette solitude nouvelle ?
Amour humain bafoué
Mise à mort la foi des poètes
La courbe des obus épouse la nécessité
Qu'on ne demande pas l'assentiment de la poésie
Ce jargon égoïste et angoissé
Aux pieds des prédateurs offert
Rêver est indécent quand coule le sang
Les mots ont revêtus des armures
Et renoncé aux rêves et aux murmures
Te souviens-tu, avant le carcan solitaire
Comme il faisait bon rire, boire et se plaire
Flâner, converser, sourire, acquiescer et se taire
Nos coeurs étaient ouverts, la foi sur le visage
Qui sommes-nous aujourd’hui ?
Des réprouvés d'un autre âge
Condamnés aux plaisirs éphémères et sans joie
Tu es toujours seul face à ton bonheur qui est sens
Mais donner sans recevoir ne comble pas l'absence
N'apprend plus, ne lis plus, ne pense plus
Jette la lucidité au rebut des rêves déchus
Pauvre bête humaine sans coeur et toujours ivre
Cruelle, brutale et condamnée à vivre.
François Tonniac